jeudi, novembre 30, 2006

Contrepoids : aujourd'hui, je me réjouis (tout arrive, non moins en vrac)

Des chats, du coca light, de ma couette, de mon beau chapeau vert qui va si bien avec mes superbes chaussures vertes itou, du nutella, de la brume, de mes livres, des feuilles d'automne, de la mer, de la série BD "Courtney Crumrin", de mon mouton en peluche tout doux, de mon nouveau lave linge, de mon appareil photo numérique, de Terry Pratchett, du musée d'Angoulême, de la nouvelle saison d'Urgences, des estampes japonaises, de photoshop, de mes livres en général (my preciousssss) et de Lyonnesse en particulier, des raviolis chinois, des livres tout court, d'être chez moi, de Ranma 1/2, de Loituma (surtout Ievan Polka mais pas que), de dormir, du dessin, de mon disque dur externe, de mes nouvelles enceintes, de mes livres (encore), de mon abonnement à "La Recherche", de James et de son flegme, des jeux de rôle, de mes amis (y'en a quand même...), de mon affiche signée de Claire Wendling, de mon lit, de mes pinceaux, de ma famille, des carpaccios à volonté, du bain moussant, d'être tranquille...

Bon, c'est sûr, y'en a moins, mais appréciez déjà l'effort !

mardi, novembre 28, 2006

Aujourd'hui, j'en ai marre (en vrac)

Des réveils qui ne sonnent pas, des gens qui klaxonnent comme des malades sous ma fenêtre sous pretexte que le feu du bout de la rue est trop long, des trains en retard, des gens qui montent dans le metro sans laisser descendre avant, des gens qui mettent pas de déo, des gens qui mettent 15 secondes avant de poser le pied sur la première marche d'un escalator (souvent des mamies mais pas que), des gens qui s'arrêtent *devant* le tourniquet du metro pour chercher leur ticket, des gens qui foncent dans le tas sans s'excuser, des automobilistes daltoniens, des gens avec des poussettes qui pensent que ce simple accessoire leur permet a/de traverser n'importe où n'importe quand en insultant les autres b/ bousculer/pietiner/ecraser tout le monde sans être tenus par les moindres regles de politesse qui demanderaient au minimum de s'excuser, des cyclistes qui pensent être dispensés de code de la route, des gens qui écoutent leur musique hyper fort pour que tout le monde dans le wagon puisse en profiter à travers les écouteurs, des bébés qui hurlent, des gens qui parlent très fort au téléphone de préférence à 10 cm de mon oreille, des chauffeurs de bus qui se prennent pour ds pilotes de F1, des gens qui se précipitent pour vous passer devant dans l'escalier puis qui se traînent lamentablement, de la pluie, des gens qui zigzaguent dans les couloirs du metro, des gens qui restent à gauche dans les escalators, des gens qui accelèrent quand vous voulez les doubler (que ce soit en voiture comme à pied), des ordinateurs, des gens qui mettent leurs pieds sur les sièges en face d'eux, des gens qui utilisent les strapontins quand le metro est blindé, des gens qui vous tripotent quand le metro est blindé, des gens qui mettent un 's' à clafouti, du plombier qui rappelle pas, du froid, des gens qui vous donnent une heure de rendez-vous, qui arrivent en retard d'une heure et demie et qui osent râler parce que vous avez eu l'outrecuidance d'aller prendre un café en attendant, des journées pourries, de cette journée, des gens, des gens, des gens.

Eh ben après tout ça ça va même pas mieux. Je vais me suicider au nutella.

lundi, novembre 27, 2006

Oisiveté

Comme je bosse fort studieusement, chacun le sait, vissée devant mon ordinateur, j'ai peu de contact avec le monde extérieur hormis lorsque celui ci vient à moi pour me vendre des chauffe-eau de compètition ou me convertir au pentecôtisme.
Je vais donc vous épargner mon épique combat contre les poissons d'argent dans ma salle de bain et vous gratifier d'un vieux dessin qui traîne sur mon disque dur depuis un bout de temps à qui j'ai mis un coup de photoshop dans la figure histoire de faire bonne mesure. Voilà c'est juste comme ça pour crier à la face du monde que je ne suis pas qu'une intello qui réléchit trop, je me sers de mes petits doigts musclés aussi parfois.


Bon, ben voilà, au moins ça meuble ^^
C'est dingue comme rajouter un effet de vieux papier ça redonne de la gueule à un dessin fatigué !

samedi, novembre 25, 2006

J'ADOOOOOOORE mes voisins

Bon j'ai horreur de me lever tôt, et j'ai horreur d'être réveillée par un élément extérieur surtout en cette saison où mon métabolisme naturel me pousse à hiberner au chaud sous ma couette installée sur une confortable provision de Nutella et ne *surtout* pas sortir de ma couette du moins pas avant d'y avoir passé au moins douze heure.
Voilà donc quelle fut ma joie et mon bonheur intense d'être ainsi réveillée après avoir passé de trop courtes heures sous ma couette adorée par la sonnerie de l'interphone, qui m'annonça d'une voix incroyablement enjouée en plus d'être féminine et dégoulinante de bonté et d'amour du prochain, que Machine Patinchouette ci- présente à ma porte ADOOOOOOOOOOrait discuter de la Bible avec ses voisins et qu'elle aurait ADOOOOOOOOORE savoir ce que je pensais de Dieu en l'état de la conjoncture actuelle avec toutes ces guerres et ces famines partout dans le monde.
Gardant pour moi les blasphèmes que m'inspiraient cette charmante personne et son exposé si enjoué des misères du monde dont on sentait bien qu'elles n'entamaient en rien sa Foi Inébranlable alors que moi tout ce que je voulas c'était DORMIR, je lui faisai juste remarquer qu'il était peut être un poil tôt pour considérer ces épineuses questions et que tout ce que je pensais de Dieu, la Vie, l'Univers, c'est que j'aurais bien voulu dormir encore un peu.

Nullement démontée par cette répartie cinglante assénée d'une voix endormie, mon interlocutrice me proposa alors de repassser plus tard à un horaire plus à ma convenance, ce que je m'empressai de décliner (à regret, tout le monde l'imagine) pour me jeter de nouveau sous ma couette salvatrice qui ne me pose JAMAIS de question philosophiques, elle.

Le mot de la fin pour James, ne s'étant pas réveillé une seconde pendant cet entretien : "mais, à qui tu parlais ?"
Rien, chéri, c'est Dieu qui me parle.

mercredi, novembre 15, 2006

L'appareil photo numérique ne convient pas aux enfants de moins de 36 mois...

C'est pas le tout, mais maintenant que j'ai un super mega trop bien appareil photo numérique, permettez moi de vous imposer mes photos artistiques les plus formidables parce que je le vaux bien et que l'automne, franchement, c'est trop top de la mega watcha balle et que ça se voit super trop beau de ma fenêtre !!



En plus de ça je fais de photos de trucs trop zarbis où on voit plein de possibilités chelou, mon enthousiasme est sans limite !! on dirait une danseuse, vous trouvez pas ?


Franchement ? C'est pas trop fort ?

Coup de balais


Ah oui, c'est la folie !! Maïa et Cloum ont un lit un vrai sous lequel on peut ranger du vrai bazar pour de vrai !! Fini le matelas par terre qui prend plein de place et ramasse toutes les saletés ! Jour faste ! joie ! bonheur ! trompettes !!

Grâce à Ikea nous avons ainsi pu passer deux heures à visser des trucs dans des machins, nous engueuler et nous menacer à coup de tournevis... Aaaaaaaaah merci Ikea !


Et finalement il en faut pas tant que ça pour transformer son chez soi en lupanar louche....

vendredi, novembre 03, 2006

reprise des négociations

Ce blog est sinistré il n'y a qu'à voir cette totale absence de commentaires tout partout pour comprendre que ma horde de fans m'ayant juré fidélité m'ont trahie comme une vulgaire chaussette, moi qui suis de noble naissance pur alpaga.

Pour la peine vous écoperez de la dernière soirée déguisée qui tombait mais c'est un pur hasard le soir du 31 octobre, d'ailleurs rien à voir avec des fantômes malgré mon magnifique drap de lit puisque j'étais déguisée en Agrippine (mais non pas l'ado agglo, la mère de l'empereur, là...)
et comme vous avez été sages (c'est le moins qu'on puisse dire puisqu'on vous entend pas) je vous met même une photo de ma magnifique coiffure ultra travaillée sublime et magnifique que j'y ai passé des heures.




On notera que niveau chaussette j'avais fait sobre ce soir là, pas comme aujourd'hui.











J'ajoute en passant une séquence de râlage puisque ça fait du bien : Je souhaite dédier chaleureusement ce post à la charmante demoiselle qui a jugé bon (mais dans un but tout à fait humanitaire j'en suis persuadée) de me foncer dedans avec un carton aux angles prononcés samedi, à Châtelet, aux alentours de 13H40. J'admets honteusement avoir très mollement tenté de m'écarter de sa trajectoire, mais je dirai pour ma défense qu'un mur me bloquait assez efficacement le passage. On comprendra la légitime indignation de cette brave femme qui, après une totale absence d'efforts pour m'éviter était clairement en droit de m'insulter comme elle l'a fait. Je tiens à te dire, madame, que ce que j'ai dit alors tient toujours.

Pétasse.